Au Kairn, dimanche 23 JUILLET, à 18h00!

Réunis par leur désir de partager et mêler les cultures et les langues, ces 7 musiciens d’horizons divers ont tous en leur cœur un fragment d’Orient.  Ils vous font voyager à travers la musique et les chants traditionnels de la Méditerranée. Il arrive même que la darbouka, le mandole et les accordéons s’égarent au Panama ou en Argentine ! Laissez-vous emporter par leurs mélodies envoûtantes et leurs rythmes entraînants, et préparez-vous à être  » désorienté  » dans le meilleur sens du terme !

Le lien pour les découvrir : ICI

Et, encore et toujours, n’oubliez pas de réserver si vous souhaitez manger ensuite!
(05 62 42 10 63 aux heures d’ouverture)

14h00-18h00 : PETIT MARCHE ARTISANAL

Des savons colorés, des abats jours customisés, des boucles d’oreilles raffinées, des objets de décoration personnalisés, des céramiques émaillées, des stylos bien encrés et luminaires bien tournés, des atours feutrés, des macramés pas désuets, des cartes de la vallée, des aquarelles et des illustrations soignées, des sacs « peau »finés, des paniers bien vannés,  des lampes colorées, des tissus biotissés, des miroirs pas cassés, des bols tournés… des créations originales et uniques grâce à Caroline DAGUENET https://www.lafabriquedessoums.fr/,  Laetitia BALES, Juliette FRAS https://www.atelier-etsou.fr/, Astrid PUJOL http://altigraphy.com/, Xavier le compositeur sur bois, Sylvie la feutrière http://laine-en-sy.com, AnaÏs GARRETA https://www.facebook.com/cousuenbigorre/, Caroline RIVIERE, Irina PAGNOUX http://www.artisanat-menestrel.com/, Justin FAUSTET,  et ceux encore incertains qui nous rejoindront peut être…

18h00 : BIPER SWING

Quartet rythmé et swinguant, BIPER SWING reprend des morceaux de Django Reinhardt, des standards arrangés dans une configuration peu usitée à notre époque : une guitare solo, une guitare rythmique, une clarinette et une contrebasse.
Pourtant, nous sommes peut-être là dans l’essence même du jazz swing des années 20 et 30 du siècle dernier.
Parfois, à tort cantonné au Jazz Manouche, certains des morceaux joués ont une histoire, d’autres sont passés de guitare en guitare, s’amplifiant dans des variantes où guitare et clarinette rivalisent de prouesse!
Nous partagerons avec eux le même enthousiasme au son de cette musique enivrante et festive qui réchauffe les coeurs … et les corps!

Damien Briard guitare rythmique,
Arnaud Estor guitare solo,
Jean Clermont clarinette,
Django Ward contrebasse et chant.

Et pour ceux qui souhaiteraient manger ensuite, n’oubliez pas de réserver!
(05 62 42 10 63 aux heures d’ouverture, 11h00-21h30)

mai au Kairn

Le café-philo et l’atelier d’écriture ne pourront avoir lieu ce mois car Jean-Yves MERCURY et Isabelle CRAMPE, nos deux irremplaçables passionnés, sont indisponibles…
De nos rendez-vous habituels, seul se tiendra le Caf’Litt’, mais le 2 juin!

 Le Kairn sera ouvert tous les jours jusqu’au 8 mai puis les week-end et jours fériés (jeudi de l’ascension)
de 11h00 à 20h30

 

vendredi 26 MAI, 18h00, rencontre
en bordure d’ELDORANDO, sur une  thématique qui devrait en séduire plus d’un : 

Du carnet de voyage
au livre édité

Une rencontre stimulante sur la route des mots du voyage, les vôtres ou ceux qui vous font rêver… venez écouter et  discuter avec deux spécialistes : Emeric FISSET, éditeur et auteur, directeur des éditions Transboréal et Marc ALLAUX, auteur, très investi dans cette même maison d’édition

N’oubliez pas de réserver si vous souhaitez diner ensuite

Le 27 et 28 mai, le Kairn sera présent et accueillera des auteurs tout le week-end au festival ELDORANDO dont le croustillant programme est à retrouver sur le site www.eldorando.fr

Café philo le 7 avril de 18h00 à 20h00
Peut-on se passer de pouvoir?

La question semble coller à l’actualité même et se trouve donc prise dans les opinions et leurs conflits. Toujours est-il que demeure la question du pouvoir, de sa nature, de sa légitimité, de son exercice et il ne semble pas y avoir de société qui puisse fonctionner sans pouvoir. Même s’il y a des sociétés qui existent sans Etat. Ainsi toute organisation sociale suppose une « gestion » de l’autorité exercée par le pouvoir en place quelles que soient ses formes historiques ou politiques. Mais qu’est-ce donc que le pouvoir ? Il s’entend en deux acceptions : le pouvoir de qui signifie la capacité, la force d’accomplir certains actes et le pouvoir sur qui est la capacité, fondée sur une inégalité de statut ou une différence de forces, de contraindre un individu ou un groupe. Parler de possibilité effective renvoie à la réalité de la force alors que l’autorité et la contrainte peuvent être aussi de l’ordre de la possibilité juridique ou morale. Toutefois on peut avoir le pouvoir juridique et manquer de la possibilité effective (l’inverse étant aussi possible). Tout pouvoir a tendance à se légitimer, y compris les pouvoirs autoritaires ou dictatoriaux, c’est-à-dire à chercher une reconnaissance objective plus ou moins acceptée afin de sortir du simple fait qui lui n’a jamais fait droit ! Or pour consentir à une autorité politique ne faut-il pas parvenir à une sorte de contrat entre les gouvernants et les gouvernés ? Si tel n’était pas le cas le pouvoir en place serait toujours menacé par des violences possibles supérieures peut-être à celles qu’il exerce. N’est-ce pas pour cette raison que chaque pouvoir cherche à s’instituer, à faire droit et ainsi à s’octroyer l’usage légal de la violence ? Toutefois tout pouvoir ne reste-t-il pas inséparable de la contrainte, c’est-à-dire de cette réalité et puissance qui entraîne les hommes à faire ou à accepter ce qu’ils ne désirent pas ? Pour ce faire il y a deux fondements du pouvoir : la force ou la loi. La première semble être uniquement source de contrainte et ne dure qu’autant que le plus fort le reste. La seconde ne rendelle pas possible la liberté ? Paradoxe qu’il convient de lever si l’obéissance à la loi est choisie. Rousseau : « L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté. » Ne comprenons-nous pas ainsi qu’il y a essentiellement trois modalités de rapport au pouvoir : 1- la soumission à la puissance, 2- l’obéissance à la loi, 3- la contestation. Ces 3 modalités peuvent bien sûr se combiner au gré d’équilibres et de déséquilibres qui font de nous des individus parfois paradoxaux, contradictoires, serviles ou combattifs etc… Il n’est donc pas facile d’échapper au pouvoir si tant est que dès notre enfance nous y sommes soumis et confrontés. L’éducation n’est-elle pas la recherche d’un équilibre entre contrainte et liberté, obéissance et autonomie, autorité et soumission ? Tous nous sommes confrontés au pouvoir et pouvons-nous vraiment nous en passer ? Quelles en seraient alors les conséquences possibles ? Que vaudrait une société sans pouvoir ? Seraitelle seulement viable ? Ne serait-ce pas la guerre de chacun contre tous et réciproquement ? Mais dire ou affirmer que le pouvoir est nécessaire ne suffit sans doute pas à la légitimer. Quel pouvoir serait donc le moins toxique pour une éducation ouverte capable de faire l’homme et le citoyen ? Que peuvent bien valoir les utopies anarchistes qui réclament haut et fort que l’Etat est source permanente de conflits et de misères, et qu’il faut donc l’abolir ? Et, pour finir en relançant la question, que vaut le pouvoir intérieur de chacun qui ne pourrait qu’obéir qui à des pulsions, à des forces intérieures qui le dépassent de beaucoup et auxquelles il/elle est soumis ? Nous le comprenons bien se passer du pouvoir ne reste-t-il pas un idéal, un rêve ou un ardent désir ? Pour autant devons-nous y renoncer ?
Voilà autant de pistes et de questions que nous essaierons de suivre ensemble.
Jean Yves MERCURY
Pensez à  réserver si vous souhaitez manger ensuite

15 avril, de 10h00 à 16h00
animé par Isabelle CRAMPE
EMPREINTES DES LIEUX« J’écris pour me parcourir » nous dit Henri MichauxParcourir les lieux du réel et de l’imaginaire, les lieux de la mémoire.Suivre les empreintes de nos lieux, de nos paysages, du près au lointain.Atelier de 10h à 12 h et de 14h à 16hA partir de 5 personnes25 € la journée
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Pour la dynamique de l’atelier, celui-ci aura lieu à partir de 5 personnes (Merci de confirmer votre venue au plus tard le 12 avril)
25 euros la journée

Caf’Litt’, 21 avril, de 10h30 à 13h00
animé par Anne Guite BEAU-CASTAGNAC
Ce café littéraire depuis sa création se révèle être un vrai beau moment d’échanges autour de lectures variées : chacun peut parler de livres qu’il a particulièrement apprécié (ou pas!) et est amené par la lecture de services de presse (ouvrages envoyés à la librairie pour découverte avant parution) à découvrir des textes vers lesquels il n’irait pas forcément et de titiller un imaginaire qui le sort parfois de sa zone de confort…. une expérience déjà très appréciée par les participant(e)s!
n’hésitez pas à venir mêler votre voix à ces passionnants échanges!
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